erreur de casting, de gouvernance et de gestion
c'est ce qui ressort de la banque Emporiki,
rachetée en 2006, par le credit Agricole
(de l'article à la page 72 du no 298 de Challenges du 26 avril 2012),
et
ces diverses erreurs coûtent au Credit Agricole 6 milliards d'euros !
Comme on le lit,
le Credit Agricole a multiplié les erreurs,
il a voulu être un géant mondial,
au lieu de s'intéresser aux clients Français.....
Quand je posai des questions il y a quelques années,
c'étaient des questions dérangeantes,
et
maintenant je ne suis pas invité ni convoqué aux Ag ....
En 2006, qui etait Directeur Général du Credit Agricole SA?
Georges Pauget,
qui je le rappelle est parti avec fortes retraites
et
moultes rémunérations....
C'est cela le paradoxe de notre systeme:
un quidam qui investit, qui cautionne ,
pour créer son entreprise, risque ses biens,
perd tout en cas de perte ,jusqu'à sa chemise.....
et là,
nous avons l'exemple type de responsables comme
Pauget,
Antony Crontiras
(Dr général d'emporiki...n'avait aucune expérience de la banque);
Jean Frédéric de Leusse, patron de credit Agricole International,...
qui eux , ne risque rien,
n'ont pas de sanctions,
ni sur leurs biens , ni autres.....
C'est cela qu'il faut réformer....
car derrière le Crédit Agricole, ce sont des ruraux , des agriculteurs, qui ont fait confiance au Credit Agricole,
et
celui ci par cupidité, spolie des Français ,
par orgueil, je ne sais encore ,
a préferé prendre des risques ailleurs que d'aider tous ses clients..
Sait on que depuis des années,
une ferme , une exploitation agricole disparaît chaque jour...
sait on le nombre de suicidés d'agriculteurs,
dont personne ne parle, chaque année....
sait on combien d'heures, et de moins que le smig,
triment des ruraux , néo-paysans, nouveaux commerçants,
chaque année
pendant que des "dits diplômes, tête bien faite
" ont crée la gabegie, !
c'est cela qui est révoltant.
et
c'est ce genre de banque que Sarkosy a aidé, soutenu,
faudra s'en souvenir le 6 mai 2012....
je vous invite à lire l'article du n°298 de Challenges,
d'Irène Inchauspé,
c'est édifiant !
