A tes yeux,
que semble abandonner le courroux,
j'ai poser tes mains sur ton cou.
A tes epaules charpentées,
denudées a souhaits,
j'ai posé un baiser.
Aa ta poitrine ,ouverte ,offerte,
ma tête s'est posée.
j'y ai humé l'effuve de ton corps,
pour dire encor,encor,et encor..
A ta taille,mes levres ont glissé,
les frissons ont tressailli,
puis se sont evanouis..
Nos regards se sont croisées,
tête relevé pour l'un,
et abaissée pour l'autre,
pour rester de desirs enflammés..
A nos corps presses,
l'un contre l'autre,
la raison dit non
quand le desir dit oui.
Etendus,le sol sert de lit ,
un peu dur je crois,
mais nos doigts sont plus forts
à dessiner des arabesques,
sur nos peaux satinées.
Nous n'irons pas plus loin,
la tendresse a suffi
pour dire notre ami(e) , notre amour,
notre beauté et jeunesse egarée.